Le travail


Déclarations sur le travail de Sim Visser


Résumant l’œuvre de Sim Visser, on est attiré par les couleurs reposantes, beaucoup de bleu et l’atmosphère calme de quelque chose, qui contient des forces considérables

Jan Kooistra, poète, inscrit dans ‘Leekster Courant’, par rapport à l’exposition à la Galerie Brink 7, Yde 1984

L’intérieur est plus près de lui que l’extérieur, cela se reflète dans certains natures mortes, extraordinairement belles (…). Dans ce travail Il y a un mysticisme profond de la vie quotidienne.

Jan Kooistra, poète, inscrit dans ‘Leekster Courant’ par rapport à l’exposition à la Galerie Brink 7, Yde 1987

Mieux, beaucoup mieux que les autres œuvres, sont les dessins à l’encre lavé, dans lequel il donne aux spectateurs de l’espace avec  lumière et obscurité, rayure et tache,  et avec ses figures dans des poses caractéristiques, donnent au papier un aspect abstrait et étincelant.

Gerard Berends , dans ‘Drentse et Asser Couran’t, par rapport à l’exposition à la Galerie Brink 7, Yde 1991

Les poèmes parfois inhibés et esquisses ouvertes aboutissent à  une tension animée: la rencontre des artistes est réussie.

Ernst Ris, inscrit dans le ‘Magazine Elsevier’, 1991, à l’occasion de la publication du cahier de poésie  «Tekens van Leven » (Signes de la Vie) de Harm Schepers et Sim Visser

Je trouve dans les études des modèles de Sim Visser une beauté rare , aussi par la manière touchante  dans laquelle il sait  mettre au papier l’essentiel du sujet en termes de dessin et de couleur

Evert Musch, artiste, par rapport à l’exposition à la Galerie  Brink 7, Yde 2002

Vos dessins, que j’ai vu ensemble maintenant, n’ont pas tort. Vous avez le courage de vous révéler ainsi, parce que si vous éditiez les dessins de ces dames, ils pourraient encore être achetés pour servir la vie sexuelle de l’homme moderne Néerlandais, ce que, récemment, nous pouvions lire dans la presse. Eh bien,  ce que je veux dire, c’est surtout pour l’homme honnête appréciant la beauté. Mais vous vous évitez bien ce piège parce qu’ils sont sexy mais pas sale ou «sleezy».

Herman Vuijsje, écrivain et journaliste, par rapport à l’exposition au Kasteel Groeneveld, 2006
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